Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
Clousot

L'intersaison 17/18 en F1 et ailleurs...

Messages recommandés

Red Bull travaille déjà pour aider Honda

Via sa filiale Red Bull Technology





30 novembre 2017 - 11h04, par Olivier Ferret


Red Bull travaille déjà de manière étroite avec Honda, pour Toro Rosso évidemment, mais aussi pour une éventuelle motorisation de Red Bull Racing en 2019. C’est ce que confirme Helmut Marko, le consultant au sport automobile de la marque autrichienne. C’est la division Red Bull Technology, chapeautée par Adrian Newey, qui ...çoit une partie des éléments nécessaires pour Toro Rosso et en apprend donc déjà pas mal sur le V6 japonais. "A l’heure actuelle, nous travaillons dur avec Honda pour rendre compétitif le futur package avec Toro Rosso. Nous les soutenons grâce à nos infrastructures chez Red Bull Technology," explique Marko. "Nous sommes très heureux des progrès que Honda réalise et nous allons continuer à en faire jusqu’à ce que la saison démarre."

Il est important pour Red Bull de voir Toro Rosso aussi performante que possible l’an prochain, avec le moteur Honda. Au bout de quelques courses elle décidera en effet s’il est opportun de se passer du moteur Renault pour Red Bull Racing pour 2019. "Après l’hiver, Red Bull Technology prendra un peu de recul parce que nous avons nous aussi une voiture à développer. Nous ferons un bilan après quelques courses avec Toro Rosso et Honda et nous déciderons alors de ce que nous ferons l’année suivante." Reste à savoir si Honda acceptera un contrat de deux ans avec Red Bull Racing : Aston Martin, le sponsor titre de Red Bull Racing, se dit maintenant très intéressée par les règles moteur de 2021.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
C'est bien que RBR aide sa petite sœur !


Aston Martin en tant que telle, en "stand-alone" n'a pas la possibilité de fabriquer un moteur aussi rapidement d'après moi, mais bon, c'est vrai qu'on en sait pas encore trop sur le sujet.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le moteur c'est pour 2021. Ça laisse 3 ans, c'et faisable.

Sans perdre de vue que Todt aimerait bien une base moteur commune F1/LMP1. Et Aston n'a jamais quitté l'Endurance.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Jean Todt pardonne le comportement de Vettel à Bakou

Cela lui rappelle les "grands" moments de Schumacher









1er décembre 2017 - 09h56, par Emmanuel Touzot 




Sebastian Vettel a été mis sous pression par Lewis Hamilton durant la première partie de saison, alors qu’il était en tête du championnat. A Bakou, pensant que le Britannique l’avait testé au freinage, le pilote Ferrari s’est porté à la hauteur de la Mercedes et a mis un coup de roue. Jean Todt revient sur cet incident et bien qu’il soit clairement inacceptable, comprend à posteriori les agissements de l’Allemand et lui pardonne ce coup de sang. "Vous savez, je suis très tolérant" explique Todt. "Je n’aime pas les gens qui jugent un comportement sans prendre en compte les émotions du moment. Je peux particulièrement en parler car j’ai vécu cela avec Michael Schumacher." Et Todt de rappeler les grands moments de panique vécus sur le bord de piste avec le septuple champion du monde "Vous imaginez ce qu’il s’est passé à Jerez en 1997, ou à Monaco en 2006 quand il a fait cette chose stupide en qualifications ? Les gens ont des faiblesses et quand ils réalisent qu’ils n’auraient pas dû faire ça, je les pardonne. C’est comme cela que ça s’est passé avec Sebastian" conclut le Français. (aux cheveux bien blanc maintenant)

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il n'y a rien à pardonner. C'était une action virile de mec plein d'adrénaline et de testostérone. Il a fait le spectacle pour lequel on le paye.

La diva devant fait un coup tordu, Vettel le remet à sa place.

Bravo.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Uscars a écrit:
Il n'y a rien à pardonner. C'était une action virile de mec plein d'adrénaline et de testostérone. Il a fait le spectacle pour lequel on le paye.

La diva devant fait un coup tordu, Vettel le remet à sa place.

Bravo.


TTAFait

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Todt aimerait bien une base moteur commune F1/LMP1

ce ne serais pas une mauvaise chose pour les deux disciplines
cela fait 50 ans que ferrari n a plus gagné les 24h

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Son vœux n'a d'autre but que de tenter de faire survivre contre toute raison les moteurs électriques.
L'Endurance s'est cassée le nez avec le mazout, et maintenant le combat de l'électrique va cesser faute de combattants.
L'avenir est aux DPI et aux LMP1 non hybrides. On voit de nombreux projets fleurir.
Une belle catégorie LMP2 très réglementée, et très compétitive et disputée. Et des LMP1 à prix abordable, à laquelle pourraient s'associer des DPI non restreintes (aux States elles roulent avec les LMP2 et son donc bridées). On voit déjà des moteurs variés, atmosphériques et turbo. On pourra voir des chassis spécifiques, ou au contraire dérivés des LMP1. Plein de choses intéressantes.

Alors faut arrêter de nous les casser avec ces machins sans autre intérêt que le pognon que les constructeurs veulent se faire avec.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
L’arrivée de Budkowski chez Renault retardée à avril

La saison 2018 sera déjà lancée





2 décembre 2017 - 08h27, par Emmanuel Touzot 




L’arrivée chez Renault de Marcin Budkowski, ancien responsable technique de la FIA, a fait couler beaucoup d’encre. Les équipes se sont élevées contre ce transfert en prétextant qu’il pourrait donner des conseils au sujet de la voiture de 2018, ayant lui-même participé à l’élaboration du règlement mais aussi été consulté par toutes les équipes qui lui ont confié leurs secrets techniques ! "Les équipes étaient énervées ? La FIA était énervée !" a lancé Jean Todt"Je dirais qu’on n’est jamais heureux de voir les ingénieurs talentueux nous quitter. Ces gens sont sous contrat suisse et nous avons des limites. Il y avait donc un préavis de trois mois et c’est comme cela. Si les équipes ne sont pas satisfaites, c’est facile de passer un gentlemen’s agreement pour éviter qu’elles n’engagent un employé ou un ingénieur de la FIA sans respecter un préavis d’un an. Elles devraient toutes se mettre d’accord".Todt assure que la FIA essaie de ne pas créer de situation de ce genre pour l’avenir "Nous essaierons de faire des contrats aussi solides que possible pour nous protéger et protéger les équipes mais ce n’est pas grand chose".En attendant, Budkowski ne rejoindra Renault qu’en avril, une fois que la saison 2018 de Formule 1 aura débuté. La FIA et Renault F1 l’ont confirmé.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Daniel Ricciardo n’aime pas tous les aspects de la Formule 1

Malgré le grand sourire qui l’accompagne en permanence





3 décembre 2017 - 09h33, par Emmanuel Touzot 




Daniel Ricciardo n’a jamais caché son envie d’être champion du monde de Formule 1 et avoue même qu’il trouve déjà avoir pris du retard. Néanmoins, il n’aime pas toutes les facettes de ce sport qui l’anime. "Il y a beaucoup d’exigences et parfois, on veut simplement être nous-mêmes" explique-t-il. "Nous avons du temps que nous passons seuls, mais il y a aussi parfois beaucoup de demandes consécutives et au bout d’un moment, on a envie d’être seuls. Les week-ends de course sont souvent difficiles et ils commencent parfois le mardi, car on a des engagements avec les médias ou d’autres opérations qui commencent à ce moment". Il explique ensuite à quoi ressemblent les jours qui suivent un Grand Prix : "Généralement, le jour d’après est en repos et je rentre chez moi le dimanche soir. Le lundi, je sors généralement pour aller manger mais je reste tranquille à ne rien faire. En fin de saison, les premières semaines après la dernière course sont chargées et ensuite, j’ai trois semaines de repos".

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Well, excuuuuuse me, mais c'est gars ils gagnent des millions de $ par an, plus que nous n'en gagnerons jamais dans notre vie entière, alors, oui, un peu de média et sponsoring ici, et là, mais toujours dans les plus grands hôtels, les plus grand restaurants, entourés de pulpeuses jolies filles qui n'attendent que de saisir l'hameçon ils peuvent bien faire un petit effort.


Non mais, je lis mal ou quoi ?

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Giovinazzi va faire six séances d’essais pour Sauber en 2018

Sera-t-il l’épée de Damoclès de Marcus Ericsson ?





4 décembre 2017 - 08h28, par Emmanuel Touzot 




Antonio Giovinazzi va participer à six séances d’essais libres avec Sauber en 2018. L’Italien de la Ferrari Driver Academy était pressenti pour un poste de titulaire chez Sauber mais c’est Marcus Ericsson qui a été retenu. Son espoir naissait surtout de l’arrivée d’Alfa Romeo comme sponsor titre de Sauber, le constructeur italien étant une filiale de Fiat et lié à Ferrari. Néanmoins, Ericsson a été prolongé pour une quatrième saison chez Sauber et fera équipe avec Charles Leclerc. Les deux hommes céderont vraisemblablement leur volant à trois reprises à Giovinazzi pour que ce dernier participe à six séances dans l’année. Il retrouvera Sauber avec qui il a disputé deux courses en remplacement de Wehrlein, blessé, début 2017Giovinazzi a été employé par Haas et Ferrari pour faire des essais et il n’est pas impossible, dans le cas où Ericsson fasse une très mauvaise saison, que Ferrari l’impose aux côtés de Leclerc en cours d’année.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Après c'est peut être aussi bien joué de la part de Sauber.
Ils conservent Erikson et son budget pour le début de la saison, d'autant qu'ils sont liés par un contrat.
Par contre s'il s'avère que c'est une cata, ils peuvent toujours le renvoyer et sortir Giovi du chapeau

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Les essais de Giovinazzi avec Haas n’ont pas été positifs

L’équipe a donc décidé de ne pas l’engager





5 décembre 2017 - 10h55, par Emmanuel Touzot




Antonio Giovinazzi a roulé pour Sauber, Ferrari et Haas en 2017 et l’Italien a décroché le rôle de troisième pilote dans l’équipe suisse qui sera soutenue par Alfa Romeo l’année prochaine. Haas l’a fait rouler lors de séances d’essais libres durant les week-ends de Grands Prix mais contrairement à Sauber, l’équipe américaine n’a pas été satisfaite de ces essais et a refusé d’engager le pilote. "Cela n’a aidé ni l’équipe, ni nos pilotes" assène Günther Steiner. "Je ne peux pas dire à quel point c’était négatif, mais ce n’était pas positif. Nous verrons ce que nous ferons l’année prochaine mais nous n’en avons pas encore parlé".

Charles Leclerc a été le pilote de la Ferrari Driver Academy choisi par Sauber tandis que Giovinazzi a été proposé à Haas pour plusieurs postes, mais l’équipe américaine a refusé de l’embaucher. "Ils ont demandé car si vous ne demandez pas, vous n’obtenez rien. Ils ne nous ont pas mis de pression. Nous avons rapidement clarifié la situation en expliquant que nous avons déjà deux pilotes pour l’an prochain. C’était plutôt rapide". Giovinazzi a dû accepter de ne pas être titularisé et devra se contenter de six séances d’essais libres en 2018, comme l’explique Sergio Marchionne, président de Ferrari : "Nous comprenons son désir de courir mais actuellement, il n’y a aucune place".

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
La F2 est plus spectaculaire que la F1, regrette Hamilton

Un petit paradoxe à régler…





7 décembre 2017 - 09h59, par Alexandre Combralier 




Liberty Media mène actuellement une réflexion de fond pour améliorer le spectacle en F1. Les pistes avancées par les Américains recueillent en général l’assentiment du quadruple champion du monde Lewis Hamilton, mais de grands progrès restent à faire pour le pilote Mercedes. Le Britannique s’est attardé sur la lutte sur la piste, roue contre roue, qu’il ne trouve pas encore au niveau qui devrait être le sien, notamment par rapport à la Formule 2 – ce qui est un paradoxe…« Du point de vue d’un pilote, vous voulez simplement avoir des batailles serrées et rapprochées, comme en karting. Le kart, c’est toujours la meilleure forme de course auto, parce que les gars peuvent se suivre de très près.  Les voitures, cette année, sont les meilleures qu’on ait jamais vues. Pour le futur, je fais confiance à Ross Brawn et à Chase Carey, et aux écuries, qui travaillent vraiment dur pour s’assurer que les prochaines voitures, en 2021, procurent encore plus de produit brut.  J’espère qu’ils rendront les voitures plus bruyantes. Vous pouvez avoir des pneus plus larges aussi… Pourquoi Jackie Stewart avait-il des gros pneus par le passé, et pourquoi avons-nous des petits pneus désormais ? Avec peut-être un peu moins d’appuis, nous pourrions suivre de plus près une autre voiture.  Rien ne justifie le fait qu’une course de F2 devrait proposer un meilleur son, avec un meilleur spectacle, avec aussi des voitures capables de se suivre de plus près. Et c’est quelque chose qu’il faut changer en F1, qui est toujours la discipline la plus rapide. »

En bon connaisseur des sports autos et des sports américains en général, Lewis Hamilton reconnaît que la F1 a encore du chemin à faire pour devenir plus populaire.« La F1 a été un peu derrière d’autres sports. Mais c’est un sport très spécial. Et si vous regardez la NFL, tous ces autres sports avec un peu moins de visibilité mondiale, je pense que la F1 peut être comparée à ces sports. Ce qui est formidable avec Chase et la nouvelle équipe de Liberty Media, c’est qu’ils ont vraiment amené quelque chose de nouveau cette année, et dans le même temps, ils continuent d’en apprendre plus sur le sport, sur les souhaits des fans. »

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
C'est Las qui va être content !


"vous voulez simplement avoir des batailles serrées et rapprochées, comme en karting. Le kart, c’est toujours la meilleure forme de course auto..."


Pour le reste, j'attends de voir, pas la peine de faire des rêves de comètes...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Vettel : La Formule E, ce n’est pas l’avenir

Pas assez puissante, pas assez intéressante





8 décembre 2017 - 09h28, par Emmanuel Touzot 




La Formule E est vue par beaucoup d’observateurs comme l’avenir des sports mécaniques. La discipline 100% électrique attire de plus en plus de constructeurs et de pilotes, mais n’émeut pas l’un des meilleurs pilotes actuels de la Formule 1"Pour moi, ce n’est pas l’avenir" a déclaré Sebastian Vettel. "La mobilité électrique est très populaire dans le monde, mais quelqu’un d’honnête qui va parler de course automobile ne va pas penser à la Formule E". Des propos tranchés qui s’appuient sur des faits évidents comme la puissance des monoplaces, mais aussi sur le retour de certains de ses camarades : "Les voitures ne sont pas rapides et plusieurs pilotes qui y participent m’ont dit que ce n’est pas très palpitant à piloter".

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Bien entendu!

L’électrique n'est qu'un bazar de certains constructeurs pour gagner plein de pognon.
Aussi stupide que le mazout petite cylindrée pour faire 5 kms pas jour.

Le sport auto c'est du bruit, la piste qui tremble et les odeurs de fumée.
Sinon on va au salon du bio et du végan. Mais c'est pas mon truc.
Ou pire on achète un bouquin à Hulot.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Leclerc explique pourquoi il a choisi le numéro 16

Un choix simple et un peu par défaut





9 décembre 2017 - 09h08, par Emmanuel Touzot 




Charles Leclerc a révélé qu’il porterait le numéro 16 en Formule 1 l’année prochaine, numéro qui ornera son Alfa Romeo Sauber et qui était présent sur la livrée provisoire présentée la semaine dernière. Le Monégasque a expliqué son choix : "Le choix du numéro 16 est assez simple pour être honnête. Je voulais le numéro 7 mais il était pris par Kimi [Räikkönen] et ensuite, j’ai chosii le numéro 10 mais Pierre [Gasly] est arrivé en F1 et l’a choisi". Une malchance qui l’a poussé à aller vers quelque chose de beaucoup plus simple : "Je me suis dit que c’était comme ça et j’ai choisi le numéro 16 car le 16 octobre est ma date d’anniversaire et je n’a rien trouvé de mieux. De plus, 1 et 6 font 7, ce qui est mon chiffre préféré, donc je l’ai choisi !" Ce sera la première fois que Leclerc utilise un numéro de son choix. Il portait le 7 en F3 et le 1 en GP3 ainsi qu’en GP2 où il avait récupéré celui de l’équipe championne, Prema

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le Hulot.
Il doit se trouver mal de réaliser tout d'un coup combien il est difficile de passer à une transition énergétique.
Les mots ne suffisent plus car il faut admettre qu'une centrale nucléaire reste incontournable surtout avec nos besoins sans cesse croissants.

Au fond produire de l'électricité produira toujours des déchets. 
Certes ils ne seront plus radioactifs si on part sur de l'éolien mais jamais il ne sera possible d'assurer la demande avec de l'éolien tout le monde le sait.
Des centrales au gaz ou au charbon resteront fossiles donc épuisables et polluantes c'est surréaliste.
La géothermie, l'hydroélectrique ou les marées sont là mais demanderont un investissement inévitable et colossal.

On en revient donc à la seule super puissance qui nous éclaire tous les jours gratuitement et sans qui toute vie est impossible.
On peut faire le tour de la question dans tous les sens c'est le soleil qu'il faut tenter de domestiquer.
L'idée de Tesla qui voudrait que l'énergie solaire soit captée mais aussi stockée par le même bâtiment est la plus réaliste à mon sens.

Il ne reste plus qu'a tout faire pour y arriver par nos propres moyens.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Hulot n'est pas un idiot fini, mais c'était probablement un idéaliste.
Confronté aux réalités dans son ministère il a compris qu'avant de supprimer certaines énergies, il faut les remplacer pas du solide et pas "au gré du vent".

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Uscars a écrit:
Hulot n'est pas un idiot fini, mais c'était probablement un idéaliste.
Confronté aux réalités dans son ministère il a compris qu'avant de supprimer certaines énergies, il faut les remplacer pas du solide et pas "au gré du vent".


Il aurait dû se cantonner à Ushuaïa, c'était une émission que je regardais volontiers, et je peux vous dire que étant plongeur moi même, il a fait des trucs de oufs, genre plonger sur une épave pleine de congres ! Respect pour ça.

Oui Us, probablement un idéaliste-Naïf.



Pour ce qui est des nouveautés 2018, c'est bien évidemment le "Halo", et le Halo sera analysé sous toutes les coutures, afin de lui permettre d'être un autre élément aérodynamique.


Il est à noter que les écuries pourront "alterner" le "look" du Halo, avec un permission de max. 20 mm de libres au dessus de celui-ci.


On va encore être soit épaté, bluffé, ou simplement déçus.



McLaren s'y est déjà penché :



La vidéo ici : Halo

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Très intéressant le Halo ML. Ils ne perdent pas de temps...;-)

---------------------------------------------------------------------------------

Verstappen reçoit le titre de Personnalité de l’année de la FIA

C’est la troisième année consécutive pour lui







10 décembre 2017 - 09h47, par Emmanuel Touzot 




Max Verstappen a reçu le titre de Personnalité de l’année lors de la soirée de remise des prix de la FIA. Le pilote Néerlandais, qui a terminé sixième du championnat et remporté deux victoires, a été élu par les journalistes accrédités en permanence pour les Grands Prix et remporte ce titre honorifique pour la troisième année consécutive. "Trois de suite !" s’étonne Verstappen sur son compte Twitter. "Je suis très fier de gagner le titre de Personnalité de l’année de la FIA encore une fois. Je remercie Red Bull Racing ainsi que les fans et tous ceux qui m’ont soutenu ! Je continuerai à tout donner". C’est la cinquième fois que cette distinction est donnée. La première avait été remise à Robert Kubica puis à Lewis Hamilton et depuis 2015, elle n’échappe plus à Verstappen

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Yes brail et bien tu sais quoi ?
Je suis content pour François Fillon voilà !

Il va côtoyer de vrais gens au boulot.
Il va enfin exprimer ses vraies valeurs car c'est un fédérateur et la FIA en a besoin.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il va surtout s'en mettre plein les poches, et donner le maximum de pouvoir aux gros constructeurs riches.

Ce mec c'est magouille et compagnie, capable d'être pire que Bernie.

Enfin Penelope va de nouveau avoir un poste lucratif et peu fatiguant.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Wolff : ’Vraiment dommage’ que Wehrlein se retrouve à pied

Il méritait une autre chance en Formule 1





14 décembre 2017 - 10h08, par Emmanuel Touzot 




Pascal Wehrlein sera vraisemblablement le grand perdant des chaises musicales de l’intersaison entre 2017 et 2018 puisqu’il n’a pas été retenu chez Sauber et qu’aucune autre porte ne s’est ouverte. La seule solution restante pour l’Allemand était Williams mais malgré le soutien de Toto Wolff, Wehrlein ne fait pas partie des derniers candidats. "Pascal mérite d’être en Formule 1, c’est un pilote excellent" regrette Wolff dans le Corriere dello Sport."Il n’est pas dans une position facile car il n’y a pas de place pour lui. C’est vraiment regrettable car il a le potentiel pour gagner et ses performances en piste ont été exceptionnelles". Mercedes devrait donc se tourner vers Esteban Ocon si elle devait remplacer Valtteri Bottas en 2019, car le Français roulera encore pour Force India en 2018. Néanmoins, il lui faudra confirmer le niveau de performance affiché en 2017. "Notre objectif est de trouver le nouveau Lewis Hamilton, ce qui n’est pas simple puisqu’il est vraiment très bon. Notre stratégie est de recruter des pilotes rapides qui ont déjà de l’expérience. Mercedes n’est pas une équipe pour apprendre, ceux qui arrivent doivent déjà être des pilotes complets".

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Clousot a écrit:
Wolff : ’Vraiment dommage’ que Wehrlein se retrouve à pied


 Mercedes n’est pas une équipe pour apprendre, ceux qui arrivent doivent déjà être des pilotes complets".


Qu'il ne fasse pas semblant, faux c*ul !

Ceci dit, je crois Wehrlein supérieur à un Ericsson ou Kvyat, ou même Sirotkin.

Et en attendant, son "poulain" Wehrlein ne sera pas chez Merco non plus, mais Ocon ?

"Prenez-le, mais pas chez nous"

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Brail017 a écrit:
comme quoi il faut plus de voitures au départ et ne pas laisser de bon pilotes sur le carreaux


Ce serait bien d'avoir comme...28 voitures en course, pas que pour ça, mais je suis d'accord Brail.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

28 voitures au premier tournant, bigre !!!
Même Hermann le Tilke n'y a jamais réellement songé je suis sûr...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Clousot a écrit:
28 voitures au premier tournant, bigre !!!
Même Hermann le Tilke n'y a jamais réellement songé je suis sûr...



Mais c'est le pote à Us ma foi ! sourire


Il y avait un temps où il y avait tellement d'équipes que 24 voitures étaient autorisées à la fois par course. Cela signifiait que les équipes qualifiées 25eme et moins n'étaient pas autorisées à courir. Je ne sais plus en quelle année, Dom peut-être ?

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Newey a écrit son livre en même temps qu’il dessinait l’Aston Martin Valkyrie

Un recul de la F1 qui lui a permis d’être prolifique





17 décembre 2017 - 08h18, par Emmanuel Touzot 




L’autobiographie d’Adrian Newey est sortie cette année, livre dans lequel il explique sa démarche en Formule 1 ainsi que les défis qu’il a relevés et la manière dont il a appris son métier et dont il l’a appliqué au fil des années de son implication dans la discipline. Bien qu’il souhaite rester actif encore longtemps, il fallait se décider à le sortir à un moment ou un autre. "Je l’ai fait comme si j’allais prendre ma retraite l’année suivante" explique Newey au sujet de son livre. "A vrai dire, il n’y aurait jamais eu de bon moment pour le faire car je ne me vois pas arrêter avant plusieurs années. Cela m’a semblé le bon moment puisque je prends un peu de recul sur la F1 et que je m’implique dans d’autres choses".

Parmi ces choses, il y a eu la collaboration avec le navigateur Ben Ainslie, pour qui Newey et Red Bull Advanced Technology ont dessiné un bateau de l’America’s Cup, juste avant de débuter le processus d’écriture du livre. Plus récemment, il a aussi dessiné la première hypercar d’Aston Martin, la Valkyrie. "Je me suis amusé à faire ce livre et j’ai pensé que c’était le moment de l’écrire. Je travaille dessus depuis un an et demi et j’ai aimé le procédé d’échange avec le biographe, qui m’a permis de me poser les bonnes questions et de développer certains points. J’ai toujours passé ma vie à me demander ce qu’il allait se passer par la suite, ce que je ferais dans le futur et pour une fois, c’était assez intéressant de regarder en arrière". Newey s’amuse aussi de ce qui l’angoissait le plus à l’idée de sortir un livre retraçant sa vie : "L’une de mes plus grosses inquiétudes au moment de faire ce livre était ma mémoire, qui n’est pas bonne du tout".

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Oui, une grand Monsieur, peut-être malheureusement trop introverti ?



La Valkyrie, qu'un rêve d'ingénieur, je la vois pas sur la route, si ? C'est pas un flop à $ 3 millions ?


J'aime pas !

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Pour les voitures au départ, longtemps leur nombre ne fut pas limité, sauf à Monaco, vu l'étroitesse et le circuit très court.
Faut dire qu'à l'époque, il y avait rarement plus de 20 voitures à tel point qu'au Nurburgring par exemple (le vrai, de 22 kms), pour "meubler un peu la course, les F2 &taient autorisée au départ, partant en fin de grille, question que le public aie quand même de quoi se mettre sous la dent vu le petit nombre de tours que durait la course.
Ce fut d'ailleurs l'occasion pour Jacky Ickx de se révéler aux yeux de tous. En 1967, engagé sue une Tyrrell F2, il fit le troisième temps absolu, devant Jackie Stewart svp, avec ..... 24" d'avance sur la deuxième F2 !!!
Partant donc en fin de grille, il allait remonter à la troisième place avant d'abandonner sur un bris de suspension (faut dire que ça décollait pas mal au Nurburgring à l'époque).
Petite anecdote, Stewart avait abandonné avant lui mais après s'être fait dépasser par le pilote belge. A sa descente de voiture, il s'est précipité vers le stand Tyrrell pour leur dire d'arrêter Ickx, qu'il allait se tuer car il était impossible d'aller aussi vite avec une F2 !
Sa réputation de Ringmeister était née !
Ensuite, le nombre de F1 a grandement augmenté sans être limité (sauf sur certains circuits courts) si ce n'est par un temps maximum à réaliser aux essais (110% de la pole, à une époque tout au moins).
Un exemple extrême, au GP de Belgique à Nivelles, en 1974, sur un circuit d'à peine 3,7 kms, 35 voitures étaient engagées aux essais, et le nombre de partant, vu la longueur du circuit, limitée à..... 31 voitures !
Ensuite, longtemps, on limita le nombre de voiture à 26 au départ (toujours 20 à Monaco), 30 aux essais officiels, et les voitures en surnombre les plus mal placées devaient le vendredi matin, quasi à l'aube, faire une courte de séance de préqualifications qui donnait accès aux 2 'ou 4 ?) drnières places pour participer aux essais officiels.
Je ne vous dis pas le stress et le nombre de sortie pendant cette courte séance d'essais !
A l'époque aussi, des privés pouvaient par exemple engager une voiture (souvent vieille d'un an ou deux, sur leur GP national ou sur quelques courses. Et les grosses écuries pouvaient engager une troisième ou quatrième voiture pour tester un jeune pilote par exemple.
Puis, le nombre de voitures diminuant, il fallu des teams de 2 voitures engagées à l'année et "qualifiées" par la FIA avant le début de saison.
Longtemps limité mais aussi imposé par contrat avec les organisateurs des GP, à 26 voitures.
Maintenant, on a du mal à en avoir 20, hélas !!!

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Un exemple extrême, au GP de Belgique à Nivelles, en 1974, sur un circuit d'à peine 3,7 kms, 35 voitures étaient engagées aux essais, et le nombre de partant, vu la longueur du circuit, limitée à..... 31 voitures !

je ne vois pas ce qu il y a d extreme 31 voitures sur 3.7km
ce n est meme pas une voiture tout les 100m moque

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Brail017 a écrit:
Un exemple extrême, au GP de Belgique à Nivelles, en 1974, sur un circuit d'à peine 3,7 kms, 35 voitures étaient engagées aux essais, et le nombre de partant, vu la longueur du circuit, limitée à..... 31 voitures !

je ne vois pas ce qu il y a d extreme 31 voitures sur 3.7km
ce n est meme pas une voiture tout les 100m moque


T'imagine la même proportion sur l'ancien Nurburgring de 22,8 kms !!!
dinguedinguedingue

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
il ont fait il y a 2 3 ans une porsche cup avec tout les pays sur le nurburg un paquet de voiture
je ne trouve plus le lien dsl

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...